Bonjour,
Récemment, un.e éditeur.trice, qui pourtant m'avais proposé d'entreprendre un projet ensemble, m'a abandonné. Ses raisons ne m'ont pas convaincu. Tout ça me fait réfléchir, et je me demande si l'autoédition n'est pas la solution pour améliorer les conditions des écrivains.
Deux choses me viennent à l'esprit : quelle est la (vrai) motivation pour envoyer son manuscrit aux maisons d'édition ? Ce n'est pas le « prestige » d'être publié par un entrepreneur qui assure la distribution et la promotion ? Car au fond, ce qui différencie l'autoédition de l'édition classique c'est leurs carnets d'adresses et de distribution, surtout pour les grandes maisons, tandis que dans l'autoédition, c'est l'auteur qui gère tout, à lui de se débrouiller pour offrir son travail aux lecteurs dans les meilleures conditions.
Depuis le début de mon projet de roman, je me suis décidé par l'édition classique, car je sentais qu'il me manquait les compétences nécessaires pour réussir la publication d'un livre, mais avec le recul je vois que ce qui me manque c'est surtout les adresses d'impression et de distribution (et peut-être le courage ! ).
Pour finir ( je commence à être longue), je reviens au titre de mon post : que faire lorsqu'un éditeur te lâche au milieu d'un projet?
😊 Bien à vous
Bonjour Emilie,
Je suis totalement d'accord avec toi, on apprends de nos erreurs, c'est certain!
Concernant le livre illustré, c'est un travail à deux.😁
Bonne journée et merci beaucoup.
Bonjour à toi ! Une expérience similaire m'est arrivée l'année dernière. Après des mois de travail avec l'éditeur de mon premier roman, il m'a finalement lâché en cours de route...la réécriture ne lui convenait plus ! Sur le coup ça m'a fait l'effet d'une douche froide. Mais quelques mois plus tard, j'ai trouvé un éditeur qui finalement correspond davantage au projet. La leçon que j'ai pu retirer de tout ça :
- Un accord oral ne vaut rien
- Derrière chaque échec se cache une réussite
- Il ne faut pas baisser les bras !
Pour la soumission d'ouvrage illustré, normalement c'est la maison d'édition qui est censée se charger de la partie illustration mais sait-on jamais, ils peuvent apprécier un projet déjà avancé !
Sur tes interrogations concernant l'auto-édition et l'édition traditionnelle, pour avoir testé les deux, je dirai qu'il y a des avantages des deux côtés.
le travail en maison d'édition est rassurant car nous sommes entouré. Ils prennent en charge l'intégralité des frais (correction, mise en page, graphiste, exemplaires, diffusions , promotion etc)
Et l'auto édition représente une grande liberté.
Je te souhaite plein de réussite et une belle journée !
Hello Marion! 😁
En fait, ses raisons me semblaient vagues, et franchement, cela n'a aucune importance maintenant. Je me concentre à trouver des alternatives, déjà je travaille avec une illustratrice qui fait des merveilles ! Et qui est disposé à continuer le projet. Le problème c'est que je ne sais pas comment envoyer un projet illustré à une maison d'édition. Nous avons la mise en page, les mots et les illustrations, un premier jet, si tu veux. Je voudrais profiter de l'occasion pour offrir un bel ouvrage, c'est mon objectif.
Ma devise: Jamais baisser les bras! 😁
Ma première réaction : Oh non… ça c’est vraiment dur. Tu veux parler des raisons qu’elle a données ou pas ? Déjà, première chose à faire quand il y a promesse de travail, c’est signer un contrat… et un devis tient lieu de contrat